À la fois entrepreneur, producteur de films, consultant en marketing numérique, spécialiste en branding, agent d’artiste et blogueur, Andrew Johnson est spécialisé dans les stratégies numériques pour aider les marques à construire et développer leur présence en ligne.
À 18 ans, Andrew Johnson fonde Dreww, une agence de marketing composée de créateurs, d’artistes et d’influenceurs. Au fil des ans, il a réalisé des mandats pour des entreprises comme Hector Larivée, Copper Branch, la Cidrerie Lacroix et Addison Électronique. Il a également travaillé comme directeur du marketing du Beachclub et à faire d’Olivier Primeau le visage de la marque. Résultat? 243 000 fans sur Instagram, 23,5 millions de visionnements sur Facebook, plus de 500 000$ en commandites et en partenariats et un documentaire produit par Illico.
L'utilisation du «big data» et de l'intelligence artificielle dans le marketing est une chose qui est maintenant à notre portée en 2020. Lorsque nous menons des campagnes en ligne, les plateformes que nous utilisons nous fournissent avec beaucoup de données. Mais est-ce que nous en profitons vraiment ? Non, car nous ne savons pas par où commencer.
Au fur et à mesure, des solutions qui peuvent nous aider à donner un sens à toutes ces données apparaissent sur le marché. Les spécialistes du marketing qui les mettent en œuvre vont donc obtenir de bien meilleurs résultats pour leurs clients.
«Le fait que je vive sur les plateformes sociales depuis l'âge de 14 ans me donne une compréhension profonde de leur fonctionnement.»
Pour un entrepreneur de 27 ans qui essaie d'acquérir de nouveaux clients pour son agence de marketing et son studio de production, le plus grand défi est de faire en sorte que les décideurs plus âgés qui contrôlent les grandes entreprises et les grandes marques se rendent compte que les anciennes agences ne sont plus toujours les bonnes et/ou les meilleures dans le domaine.
Le marketing numérique est un jeu de jeune. Je faisais du marketing en ligne quand j'étais au secondaire. Le fait que je vive sur ces plateformes depuis l'âge de 14 ans me donne une compréhension profonde du fonctionnement de ces plateformes et de leurs écosystèmes. Aujourd'hui, j'ai 27 ans et je comprends mieux la culture numérique que certains dirigeants de grandes agences.
Ma définition du bonheur au travail est de pouvoir choisir ce sur quoi je travaille et avec qui je travaille. J'ai ce luxe d'être à la tête de ma propre agence et de mon studio de production et c'est quelque chose que je chéris beaucoup.
Premièrement, avoir un contenu intéressant qui communique correctement les valeurs de la marque avec laquelle vous travaillez.
Ensuite, le type de contenu (esthétique, taille, longueur, proportions, photos ou vidéos) doit être publié sur la bonne plateforme. Certains types de contenu conviennent mieux à Instagram et d’autres à Facebook ou à Tiktok. Être capable de distinguer et de publier le bon contenu sur la bonne plateforme est très important.
«La portée organique est désormais dépassée.»
Enfin, augmenter la visibilité de votre contenu avec du placement média payant, c’est la clé. La portée organique est désormais dépassée. J'aime expliquer ce concept à mes clients: les marques racontent une histoire. Celle-ci se divise en trois parties: une introduction, un développement, une fin et le tout divisé par des chapitres bien précis. Chaque publication d'une marque est un nouveau chapitre dans son histoire. Sans placement média payant soutenant ces publications, vos fans manqueront fortement un chapitre à votre histoire. Si vos fans voient seulement le chapitre 1 car l'algorithme a décidé de ne pas leur montrer le chapitre 2-3-4, ils manquent une grande partie de la narration. Celle-ci fonctionne seulement si vos abonnés voient tous vos messages consécutivement. Vous pouvez accomplir cela en utilisant le placement média payant et en ciblant des audiences personnalisées.