L’exposition annuelle de Shoot Studio

01 Déc 2020 contenu partenaire

Par : Formations Infopresse
L’exposition annuelle de Shoot Studio

Travail d’équipe

Ce projet est né de l’envie de mettre en place un projet créatif qui met en valeur les talents de l’entreprise : 

« On avait envie que toute l’équipe de photographes puisse se réunir autour de ce projet-là. Notre exposition annuelle a eu beaucoup de succès par le passé. C’était de 400 à 600 personnes qu’on accueillait pour le vernissage dans notre espace sur la rue Saint-Hubert. Cette année on s’est dit que si on ne pouvait pas recevoir les gens chez nous, nous allions sortir notre projet dehors! », explique Martin Girard, photographe, directeur photo et associé chez Shoot.

Ce projet, qui se développe en parallèle des activités commerciales du studio, est devenu une véritable passion pour l’équipe. Un comité s’est constitué pour l’organiser et ces préparatifs génèrent beaucoup d’enthousiasme. « L’apport immense de « Studio dans le Bois » était indispensable à l’union de l’univers des images et des mots. Leur travail de design graphique est en fait une création à part entière, adaptée à chaque visuel. »

 

Témoigner du présent

La mécanique créative du projet est fort intéressante. Shoot a réuni 9 de ses photographes avec des styles complémentaires (Maude Chauvin, Nastia Cloutier Ignatiev, Martin Girard, Jean-François Gratton, Hans Laurendeau, Sylvie Li, Jean-François Lemire, Pierre Manning et Félix Renaud). L’étincelle qui a enflammé leur imagination a été la lecture de la trilogie « La bête » de David Goudreault. Shoot a eu envie de collaborer avec l’écrivain en lui demandant de rédiger des poèmes que les photographes tenteraient de mettre en images.

Le processus s’est ensuite légèrement modifié;

« David Goudreault devait initialement livrer dix-huit phrases. Il a plutôt écrit neuf phrases qui ont été remises au photographe de façon aléatoire. Puis on a fait l’inverse. On a envoyé des images à David et il en a tiré au sort pour créer les neuf dernières phrases » précise Martin Girard.

« On a demandé à David de s’inspirer du contexte actuel pour rédiger son oeuvre. On souhaitait explorer l’actualité dans nos images. On avait envie que l’exposition témoigne des grands changements qu’a apporté 2020, tant avec la pandémie qu’avec les grands mouvements sociaux qui sont en train de prendre de l’ampleur. On voulait que cette exposition témoigne d’un moment précis. Dans quelques années on va pouvoir revoir ce travail comme d’un instantané de l’histoire, un arrêt dans le temps » ajoute-t-il.

Diffusé par Publicité Sauvage, vous pouvez voir le résultat créatif de ce projet en visitant l’un des cinq espaces d’exposition extérieurs : coins St-Denis/Des Pins, Papineau/Laurier, St-Laurent/Fairmount, Ontario/St-Timothée et Rosemont/St-Hubert. Pour plus dinformations, cliquez ici!